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mercredi, août 29, 2007

Fait no. 1 : La musique change l'humeur.

Fait no. 2 : Écouter S.B.P. dans le tapis sur mon lecteur mp3 en prennant l'ascenceur avec des gens en complet/cravate, ça fait ma journée.

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lundi, août 27, 2007

Volley-ball



Quand : Débuterait en septembre, pour 10 semaines.

Où : Gymnase Montréal, 9675 Papineau (coin Sauvé). Accès facile : métro sauvé, bus 121.

Coûts : 60 $ / personnes pour 2 heures pendent 10 semaines (Ca revient à 3$ de l'heure).

Horaire : J'attend la confirmation du monsieur mais ce serait le samedi. J'essaies d'avoir de 12h00 à 14h00... sinon de 16h à 18h00, ou finalement en dernier choix de 18h00 à 20h00.

Type : ligue amicale, non compétitive. On joue pour le fun !

Niveaux acceptés : Tous les niveaux, de très bons à pas terribles mais qui essaies ! Si vous êtes des élites, vous risquez peut-être de vous emmerder un peu.

Si vous êtes intéressés, n'hésitez pas à me contacter : djue83@hotmail.com ou à me laisser votre adresse courriel dans un commentaire.

Je dois ramasser 24 personnes pour que ça marche alors j'apprécirais beaucoup un petit coup de main de votre part. Si jamais vous connaissez des gens qui pourraient être intéressés, s.v.p. leurs donner mon email afin d'établir un contact.

Email : djue83@hotmail.com

Merci ! ;)

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dimanche, août 26, 2007

Djue retourne sur les bancs d'école.



Eh oui ! Comme enseigner ma profession est un rêve que je caresse depuis longtemps, j'ai fini par me décider à rentrer à l'université, afin de décrocher un bac en enseignement professionnel et technique. Je commence donc, à raison de deux cours pour cette session-ci (y'avait pas de place temps plein), dès septembre.

Ça se peux-tu. Moi qui ait tant haïs (si cette phrase comporte des fautes, c'est la faute de Num. Non mais visualisez... -Hey, "moi qui ait tant haïs"... ait c'est a-i ?? -C'est a-i-t... -Ok, mais haïs, c'est quoi h-a-i-s ou h-a-i-t ?? -Hein? -"Moi qui ait haïs" c'est a-i ou a-i-t ??? - HEIN quoi???! (fin de la parenthèse).

Qu'est-ce que je disais déjà ? Oui ! Moi qui... détestait tant... l'école primaire et secondaire (tout en étant une bolle), je choisis maintenant d'entreprendre une carrière d'enseignante. C'est ben pour dire. Mais si l'on regarde les avantages, c'est qu'au lieu de payer pour y aller, je serai payée pour y être. ;)

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lundi, août 20, 2007

À la demande de Satch...

À la demande de Satch, qui dans ses commentaires semble fort intéressé par la sodomie entre détenus de prison, voici donc.


*Vous devez avoir 18 ans ou plus pour continuer.
**Si vous n'avez pas 18 ans ou plus, fermez vous les yeux immédiatement !
*** La prison, c'est maaaaaal, voyez!?
****L'identité de ces deux (hostie de mongols) comédiens sera tut. tûe ? tût ? t... on dira pas cé qui, criss !








Y vont me tuer !

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Crémaillère

La peinture et les petits travaux étant enfin terminés dans notre nouvel appartement, il fut venu le temps de se récompenser un peu pour les efforts que nous avons fourni depuis notre arrivée. Num et moi avons donc décidé de pendre la crémaillère samedi dernier, afin d'inaugurer le début de notre vie commune dans notre petit nid d'amour.

En tout, près d'une trentaine de personnes se sont présentés. L'alcool coulait à flots, la musique jouait fort, les gens étaient de bonne humeur. Bref, en très belle soirée !

Les gens présents ont même eu droit à une prestation "live" de notre nouvelle vedette musicale de la blogosphère. En effet, Pat nous a fait le plaisir de nous interpréter sa un-peu-crue-mais-ô-combien-entrainante chanson S.B.P., sous les acclamations enthousiastes de la foule.

J'aimerais personnellement remercier Francis, qui nous a choyés de sa présence pendent quelques temps, malgré les événements qui se sont passés dernièrement. Ça nous a fait un énorme plaisir de te rencontrer et on espère bien remettre ça ! Nous dégusterons une bonne coupe à ta santé !

J'ai beaucoup apprécié également la présence de Josie et de son monsieur. Vous êtes tellement sympathiques tous les deux ! On a eu ben du fun avec vous! (ben non, y'avait pas de menottes là, gang de...) :) Je repensais à la "shot-du-cadre-de-porte" en me couchant et je riais toute seule ! :)

On avait invité plusieurs autres bloggeurs mais malheureusement, tous avaient des empêchements et ne pouvaient être présents. Ce serait bien, donc, d'organiser un petit souper ou soirée sous peu. Il me semble qu'il y a longtemps déjà que l'on ne s'est pas retrouvé en gang. Si des gens ont des suggestions...

Alors finalement, le tout s'est très bien passé. La soirée s'est terminée à 5h00 du matin et je dois vous avouer que je commençais à avoir hâte d'atteindre mon oreiller. Bien que je n'ai pas bu tant que ça, j'ai été complètement sur le carreau toute la journée d'hier. C'est ça, vieillir, me direz-vous. Bla bla blaaaah...

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jeudi, août 16, 2007

Entendu à ma job...

Alors que je travaillais paisiblement, de l'autre bord de mon paravent se fit entendre une voix féminine :

(Fille) - Hey Ronald ! Tu tombes bien !
(Ronald) - Ah oui, je tombe bien ? Ben... j'espère que j'me ferai pas mal !!! HAHAHAHAHA!!!!!



...

Asti, la journée va être longue.

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mardi, août 14, 2007

Petite explo nocturne...

J'avais perdu le goût du défi ces dernier temps et ca faisait depuis l'automne dernier que je ne m'étais pas tappé un petit trip d'explo/photo.

Avec deux amis, on est allés visité un endroit pas mal intéressant en fin de semaine passé. Quelqu'un prend un guess ?

Hint : À l'époque où ce bâtiment était actif, il était vraiment plus difficile d'en sortir que d'y entrer! ;)







P.S. Ne vous en faites pas, ce n'est pas du vrai sang à côté de mes pieds! :)

lundi, août 06, 2007

Wake me up when September ends


Il fait nuit. Il fait froid aussi. Il n'y a pas de neige sur le sol mais on sent que l'hiver approche tranquillement puisqu'un nuage de condensation s'échappe de ma bouche au rythme de ma respiration. Je suis seule, au milieu d'une ruelle. Curieusement, je ne suis habillée que d'une jupe et d'une camisole malgré la température qui me transit jusqu'à l'âme.

J'ignore ce que je fais là, je ne me rappelle plus. Je ne veux que rentrer à la maison, mais j'ignore également où elle se trouve. Confusion totale. J'entends, au loin, des sons de festivités. Des gens qui jasent, des bouteilles qui se cognent et une musique de fond. Un air « dark » dont je n'arrive à saisir aucune parole. Je décide d’aller vers le bruit, pour ainsi être en mesure de demander mon chemin à quelqu'un, bien que j'anticipe le genre de personne sur lequel je pourrais tomber.

J'ai à peine entamé quelques pas lorsque j'accroche du pied droit une vieille conserve qui traînait sur le sol. Le bruit produit par le métal fouettant le pavé est à puissance décuplée et vient s'abattre sur les vieux buildings qui m'entourent dans un écho qui semble interminable.

J'entends des pas qui s'approchent. Des pas lourds et pressés. Mon coeur se met à battre de plus en plus vite et j’en aperçois la source, au bout de la ruelle. Deux hommes. De tailles normales, avec des fringues normales, ils me regardent tous deux avec un air pas normal du tout.

Je ne me souviens plus exactement de leurs paroles à ce moment mais ça n'augurait rien de bon. Je fis volte-face et me mis à courir. Je n'entendais plus la musique. Il n'y avait que mes pas et les leurs, qui se rapprochaient trop rapidement malgré tous mes efforts physiques. J'étais presque au bout de mes forces quand l'un d'eux réussit à saisir mon épaule.

Dès le contact effectué, je fus littéralement paralysée. Plus aucune partie de mon corps ne répondait. Ma bouche ne voulait pas crier, mes jambes ne voulaient plus courir. J'étais comme une poupée de chiffon et ils avaient le beau jeu pour faire de moi tout ce qu'ils désiraient.

Ils m'enlevèrent mes vêtements en les déchirant. J'étais donc mise à nue mais je ne ressentais plus le froid. Ils se mirent à me violer, chacun leur tour. J'avais mal, tellement mal. Ils me frappaient au visage et à l'abdomen, avec leurs poings et leurs pieds. Chaque coup reçu faisait ruisseler mes larmes mais j'étais toujours incapable de bouger. Aucune issue possible. J'allais devoir endurer cet enfer jusqu'au bout. Ils me griffaient comme des bêtes sauvages, me mordaient et frappaient encore de plus belle. La douleur était vive et mon sang commençait à se répandre sur le sol. Du sang, des larmes et au fond de moi, une terreur comme jamais je n'avais éprouvé auparavant.

J'ai fini par me réveiller, en larmes dans mon lit. De tous les cauchemars que j'ai faits, celui-ci est de loin le plus traumatisant. Et il a fallu que je le revive une seconde fois, pas plus tard que la nuit dernière.

Je ne veux plus dormir.

Et pour les p'tits comiques, non, je n'avais pas mangé de cachous avant le dodo...

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